Maintenant, c'est l'orchestre entier qui joue le thΦme.
@Approfondir:@2
Cette fois-ci, ce sont les sons clairs du piccolo qui jouent les ornements, α la fin de chaque phrase. Beethoven sait ce qu'il fait en choisissant le piccolo pour ce r⌠le : c'est en effet l'un des seuls instruments qui rΘussit α se faire entendre clairement quand tout l'orchestre joue "forte" dans le mΩme temps.