Pendant nombre d'annÄes, on utilise beaucoup les chevaux dans les mines de l'öle Bell. En 1914, ces bÉtes et leurs conducteurs ont facilitÄ la transformation de l'öle en une ville prospÅre et en l'un des secteurs les plus actifs de l'Äconomie de Terre-Neuve. De 1896 ê 1905, les mines produisent en moyenne chaque annÄe 411 750 tonnes fortes. De 1906 ê 1915, cette production fait plus que doubler et passe ê 974 449 tonnes, mais le dÄclenchement de la PremiÅre Guerre mondiale la fait flÄchir du jour au lendemain. La Scotia Company, dont l'Allemagne constitue le marchÄ principal, ferme ses portes et la Dominion Company rÄduit son effectif d'environ 75 pourcent. Vers la fin de la guerre, il se produit cependant une reprise Äconomique dans l'öle, mais un autre effondrement viendra secouer l'aprÅs-guerre. Et lorsque la France occupe la Ruhr en 1923, une autre pÄriode de repli succÅde ê une brÅve reprise. En 1916 ê 1925, la production annuelle des mines se chiffre en moyenne ê 760 403 tonnes fortes, soit beaucoup moins que pendant la vague de prospÄritÄ d'avant-guerre.