Jean Marchand de la C.T.C.C. exhibe ici les yeux au ╟beurre noir╚ d'un grÄviste qui a ÄtÄ battu, semble-t-il, par la police. AprÅs leur arrestation, les grÄvistes Ätaient conduits au Club Iroquois pour Étre soumis ê des interrogatoires violents o¥ l'on ne mÄnageait pas les coups de pied ou de garcette, et les coups de poing. Plusieurs avaient ê leur libÄration, le visage tumÄfiÄ ou portaient des marques de rudesse.